










3.1. Panorama des acteurs dont la responsabilité est engagée
3.1.2. Les chaînes : des choix stratégiques et une responsabilité majeure
Mémoire > 3ème partie / Les séries en tant que divertissement reponsable : un choix stratégique des chaînes
3.1.2. Les chaînes : des choix stratégiques et une responsabilité majeure
De l’ensemble des acteurs contribuant à la création d’une série, il semble que la chaîne soit, in fine, le maillon particulièrement décisif. Aussi nous pensons que les enjeux de responsabilité associés aux séries télévisées peuvent être « paramétrés » selon les choix stratégiques des chaînes.
Positionnement et choix stratégiques des chaînes
En matière de responsabilité des programmes, et a fortiori des divertissements et des séries télévisées, le positionnement des chaînes apparaît comme un élément crucial. Ainsi, ces choix stratégiques influent directement sur la définition de ces enjeux. Catherine Puiseux considère en effet qu’« on ne peut pas travailler dans l’absolu sans savoir à qui le média s’adresse »[1]. Analysons selon cet angle les chaînes du PAF.
TF1 est une chaîne privée, dont le modèle économique est basé sur la publicité. La chaîne a besoin que ses programmes lui apportent des succès rapides et « sans trop prendre risque ». Elle va donc privilégier, en matière de fiction, les séries bouclées, un format rassurant par rapport au feuilletonnant qui a besoin de temps pour
s’installer et qui génère une déperdition de téléspectateurs d’une semaine à l’autre.
TF1 a pour ambition de s’adresser au plus grand nombre, à la plus large audience possible. Pour ce faire, la chaîne s’est engagée à ne pas produire de fictions risquant d’être signalées « moins de 12 ans » par le CSA.
« On fait des fictions qui visent le grand public, et qui sont des fictions familiales et divertissantes, donc on ne doit pas être porteur d’un message qui serait choquant.» [2]
Il est difficile de ne pas penser ici à la fameuse phrase de Patrick Le Lay, alors PDG de la première chaîne, selon lequel « Ce que [TF1 vend] à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible »[3]. Cette déclaration a évidemment créé la polémique. Mais sur le fond, économiquement, elle n’est malheureusement pas erronée. Tout l’enjeu repose justement sur la dimension sociétale des programmes.
Les fictions de TF1 n’ont certes pas ou très peu de volonté éducative, ce n’est pas dans la ligne éditoriale de la chaîne qui repose sur l’information et le divertissement. Mais au lieu de chercher à dispenser une certaine morale qui serait valable pour tout le monde et toutes les situations, la chaîne mise sur l’écoute et la proximité. En termes de responsabilité, TF1 a pour ambition de représenter dans ses fictions la société dans toute sa diversité (sociale, d’opinions) afin de « parler » à l’audience la plus large possible. A ce titre, la chaîne se doit d’être un miroir de la société telle qu’elle est. C’est l’un des premiers enjeux identifié par nos deux interlocutrices directement concernées.
Au-delà de la représentation de tous, l’une des forces de la chaîne réside dans cette capacité de TF1 à parler à la plus large audience. Aussi est-il important de souligner, en tant que première chaîne des audiences et du point de vue des enjeux de responsabilité évoqués, que TF1 assure un rôle particulier dans le PAF. En réaffirmant au travers de ses fictions le lien social, le consensus national sur des valeurs de dialogue, l’absence de discrimination, (cf. « label diversité »), la chaîne assume pleinement sa responsabilité. Cette constance d’un discours, certes sans aspérités, n’est pas si anodine que cela.
« Je n’ai pas suffisamment confiance dans la société française pour dire que TF1 devrait être là pour bouger les lignes. Je trouve que déjà, maintenir celles-là et n’en jamais déroger, dans aucun programme, c’est déjà pas mal. » [1]
Etrangement peut-être, le positionnement des chaînes du groupe France Télévisions - en matière de fiction du moins - peut sembler proche de celui de TF1. La différence majeure réside dans l’ambition éducative que se donne le service public. Les mêmes enjeux de représentation de la diversité sont présents :
« Le service public de télévision, en tant que télévision et en tant que service public, a une responsabilité intrinsèque de refléter ou du moins de prendre en compte la société française telle qu’elle existe aujourd’hui. Parce que c’est sa mission. » [4]
Voulant s’adresser à toute la population, les fictions doivent également être accessibles au plus grand nombre. Comme nous l’avons vu tout au long de nos recherches, Plus belle la vie, le feuilleton « porte-drapeau » de France 3, a le mérite d’aborder des sujets d’actualité parfois polémiques tout en restant politiquement correct.
« [Plus belle la vie] reste très politiquement correct, très abordable, en respect de tous. » [5]
Pour Manuel Raynaud, la question des enjeux de responsabilité des séries est susceptible de s’appliquer tout particulièrement aux chaînes du service public (payées par nos impôts). Il regrette à ce titre que leurs cahiers des charges ne soient pas plus ambitieux en matière de séries télévisées.
C’est un positionnement bien différent qui oriente la ligne éditoriale de Canal+. La chaîne cryptée repose sur le modèle économique de l’abonnement. Sa logique n’est donc pas de faire de l’audience, mais d’attirer de
nouveaux clients, de nouveaux abonnés et de fidéliser ceux qu’elle a déjà. Son approche relève donc de la stratégie d’HBO au début des années 1990 : des créations originales et exclusives pour stimuler l’intérêt des téléspectateurs et qu’ils paient pour voir ces contenus.
Ne dépendant pas – ou moins que les autres chaînes – des annonceurs, Canal+ bénéficie et s’autorise une plus grande liberté de ton. Aussi la chaîne a-t-elle pu aborder des sujets « qui fâchent », selon l’expression employée par Tristan Garcia (le Rainbow Warrior, la France-Afrique, l’assassinat de Ben Barka,…), ce que France 2 ou France 3 ne pourraient jamais faire.
La stratégie de la chaîne repose sur le sport, le cinéma et plus dernièrement sur les séries, lesquelles connaissent de très beaux succès auprès des publics étrangers comme nous l’avons vu. Les enjeux de responsabilité associés aux créations originales de Canal+ vont ainsi relever également de leurs fonctions cognitives et de leur capacité à bousculer les esprits. Toutefois, pour certains, la ligne éditoriale de la chaîne s’orienterait de plus en plus vers des séries grand public qui, du coup, perdraient de leur ambition morale.
Le cas d’Arte est pour plusieurs raisons tout à fait particulier. Tout d’abord, il s’agit d’une chaîne franco-allemande, un groupement européen d’intérêt économique. Par conséquent, Arte n’est pas soumise aux
organismes de régulation nationaux comme le CSA en France. Pour autant, cela ne veut pas dire que la question de la déontologie ou de la responsabilité des programmes ne soit pas gérée en interne.
En termes de positionnement, le choix éditorial est fort et complètement assumé. Avec des slogans comme « Laissez-vous déranger par Arte » ou actuellement « Arte, la télé qui vous allume », la chaîne a toujours cherché à faire bouger les lignes de l’audiovisuel.
« [Arte a] toujours eu - depuis une dizaine d’années et encore plus depuis 5 ans - l’ambition a priori d’aller sur des terrains où la fiction française n’allait pas. » [6]
Arte peut, malgré un budget sans commune mesure avec celui de Canal+, se permettre d’être à l’avant-garde de la fiction, notamment parce qu’elle dispose d’une image sérieuse. La chaîne s’adresse à une petite portion de la population qui a « une culture historique (…), une culture critique »[7], sans pour autant adopter un ton élitiste.
Notons que les chaînes ont des enjeux de responsabilité en matière de séries télévisées aussi bien quand elles en sont les productrices que simplement les diffuseurs. Ainsi, non seulement les choix de programmation influent nécessairement sur la réception des contenus, mais une censure est également susceptible de s’exercer lors de la diffusion. Martin Winckler dénonce vigoureusement cette pratique qui consiste à programmer des séries de qualité à des heures « peu accessibles », ne leur laissant aucune chance de trouver leur public ni de dévoiler tout leur potentiel, ou qui se traduit même par un remontage des fictions pour en ôter les passages ne permettant pas une large diffusion. Il cite un exemple au sein de TF1 :
« [TF1] se préoccupe plus de retailler les œuvres pour remplir les cases que de présenter au public des productions de qualité à des heures appropriées. » [8]
Ainsi, nous comprenons bien que les enjeux de responsabilité associés aux séries télévisées dépendent intrinsèquement des cibles visées par les chaînes et de leur positionnement. C’est également à chaque chaîne de décider des critères de qualité de ses programmes, et donc d’une certaine manière de l’ambition et des responsabilités qui y seront associées.
Séries de qualité et qualité des séries
Commençons par rappeler en quoi consistait, aux Etats-Unis, la Quality TV. Celle-ci se définit par opposition avec la Trash TV (télévision poubelle), qui désigne notamment les programmes de téléréalité guidés par les priorités commerciales et moins exigeantes vis-à-vis du public. Cependant, et d’après celles et ceux qui l’ont théorisée (Jane Feurer, Paul Kerr et Tise Vahimagi par exemple), la Quality TV ne signifie pas que « certains programmes télévisés sont par nature vraiment "meilleurs" que d’autres »[9]. Ils indiquent en revanche que ces programmes s’adressent à « un public cible haut de gamme (éduqué et aisé) ».
Selon leurs choix stratégiques, les chaînes sont donc amenées à définir ce qui – pour elles – fonde la qualité d’un programme audiovisuel. Parmi ces critères, nous pouvons imaginer par exemple : la capacité à générer de l’audience, les qualités esthétiques et performances artistiques, la profondeur des questionnements moraux. Ensuite cela dépend également de l’appréciation subjective de chaque département de la fiction et de chaque personne. Nous aurons ainsi autant de définitions de ce qu’est une série de qualité que de personnes interrogées. Pour s’en rendre compte, dressons une liste (non exhaustive) des critères soit mentionnés au cours de nos entretiens, soit repérés au gré de nos lectures.
Nous l’avons vu, la priorité que s’est fixée TF1 est de raconter une même histoire au plus large public possible, de le rassembler et de toucher des publics familiaux. Pour TF1, la question n’est pas tant de faire « les meilleurs programmes dans l’absolu », mais de faire « des programmes qui plaisent au plus grand nombre »[1].
« Il y a cette distinction à faire, qui pose parfois des questions en termes de qualité de programmes : à quoi juge-t-on la qualité d’un programme ? au nombre de personnes qui l’apprécient ou à sa qualité intrinsèque ? » [1]
Formulé différemment, cela veut dire que l’objectif de TF1 n’est pas de faire passer des messages quelconques, mais de « faire des séries qui marchent » pour reprendre les termes de Marie Guillaumond. Or, une série qui marche, pour la chaîne, c’est une série « qui va divertir le public, qui va le surprendre et qui va le fidéliser »[2].
Cet aspect finalement très quantitatif de la qualité d’une série, entièrement assumé par TF1 et qui en fait un critère tout à fait respectable, est également cité par Manuel Raynaud[6]. Son approche est néanmoins plus critique et se fait à l’encontre de Canal+. En effet, pour lui, le positionnement éditorial de la chaîne est en réalité très loin de celui d’une chaîne comme HBO. Cela est notamment dû à la différence démographique entre la France et les Etats-Unis que nous évoquions. Ainsi, HBO, qui a entre 30 et 40 millions d’abonnés, considère qu’une série mérite d’être renouvelée (il s’agit donc de l’un des critères définissant la qualité de cette fiction) lorsqu’elle rassemble 2 millions de ses abonnés (soit entre 5 et 7% d’audience). Pour la chaîne cryptée française, ce seuil de renouvellement est en fait de l’ordre de 20% de ses abonnés (soit une audience d’« 1 million sur ses 5 millions d’abonnés »). Au regard de ces chiffres, face au positionnement « de niche » qui est celui d’HBO, celui de Canal+ paraît bien plus « grand public ».
Comme nous le supposions, au-delà des critères « objectifs » d’audience, chacun définit de manière subjective ses critères qualitatifs. D’un point de vue formel, la structure du récit peut ainsi être considérée comme un gage de qualité. Dans la lignée de l’approche développée par Steven Johnson, Ursula Ganz-Blaettler estime que les programmes de qualité se définissent par des « formes narratives plus complexes »[10] (cliffhangers ou degré de mémoire par exemple). Par ailleurs, dans le cadre de ses recherches sur le « pouvoir des séries »[11], Jean-Pierre Esquenazi avance l’argument selon lequel celui-ci est lié aux capacités des auteurs à exploiter et à renouveler sans cesse les ressources narratives du genre sériel.
Arnaud Jalbert[5] souligne que les (bons) soap opera mériteraient plus d’attention car ils présentent une capacité inédite « à créer des situations de tension permanentes tout en les rendant relativement crédibles ». Pour lui également, les « séries qui comptent » nous permettent de « nous poser » : par un questionnement et une projection atemporels, celles-ci nous donnent l’occasion de nous extirper de la dictature de la vitesse de notre société.
Cette approche ouvre la voie au « fond sociétal » d’une série de qualité évoqué par Pierre Langlais[7]. Pour lui, une bonne série impliquera une modification, une réflexion de la part du téléspectateur, elle parvient à le bouleverser. Il estime que les Américains « ont ce talent, y compris dans les divertissements, d’aller titiller des questions de société » qui semble encore manquer, à ses yeux, dans la fiction française. Nous retrouvons cette dimension « politiquement incorrecte » chez Marjolaine Boutet. L’historienne considère que les séries américaines ont gagné en qualité et en audace dans les années 1990-2000 autant sur le plan formel que sur leur contenu : « discours politiquement incorrect et critique profonde de la société américaine passée et présente »[12], ces séries brisent des tabous (sexe, insultes, mort). Pour Barbara Villez, qui s’est surtout intéressée aux séries judiciaires américaines diffusées en France, les téléspectateurs français sont sans doute attirés par « les questions qui leur sont posées et qui font écho aux problèmes de toute société moderne »[13].
Les « trois ingrédients d’une bonne série » proposés par Martin Winckler nous semblent finalement bien résumer ces différents points de vue :
« Une bonne série, c’est
1 - une bonne histoire racontée de manière intéressante ;
2 - une bonne histoire écrite par des narrateurs de talents travaillant en équipe ;
3 - une bonne histoire ancrée dans la réalité et nourrie par des hommes des femmes qui la connaissent. » [14]
Pour lui, ce n’est pas le jugement qui fait la qualité d’une œuvre mais le plaisir qu’elle apporte. Ce plaisir est donc intimement subjectif. Cependant, les séries de qualité sont celles qui enrichissent la perception du public, qui offrent plusieurs niveaux de lecture et « reposent toujours sur une écriture et des interprètes solides »[15].
Le public juge de la qualité des programmes
Selon la dernière étude TNS Sofres sur « Les Français et la télévision »[16], un peu moins de la moitié des téléspectateurs interrogés juge que les programmes de télévision sont de qualité. Pour eux, elle « pèche surtout par manque d’audace (36% seulement la jugent audacieuse) et d’intelligence (38% la trouvent intelligente) ».
Concernant les séries, le constat n’est pas très positif non plus. Ainsi, 51% des téléspectateurs seulement trouvent que les séries françaises diffusées sont de bonne qualité, et il en est de même pour les séries étrangères (53%). Alors que 74% d’entre eux ont l’impression que ce sont toujours les mêmes séries, seuls 41% les considèrent comme étant diversifiées et seulement un tiers qu’elles sont originales.
En début d’année, France Télévisions a présenté le deuxième baromètre Quali TV de satisfaction réalisé par l’institut Harris Interactive. Cette étude porte sur 13 chaînes du PAF et vise non par à mesurer l’audience mais à en « évaluer les qualités ou les défauts ressentis par les téléspectateurs »[17]. Dans un univers audiovisuel dans lequel le public bénéficie d’un pouvoir de choix accru, l’objectif est de comprendre ses motifs de satisfaction et de sélection. Parmi les critères retenus pour l’analyse des programmes l’on retrouve les qualités artistiques, émotionnelles, sociales ou éducatives. Nous retenons principalement deux enseignements[17] de ce baromètre concernant les séries télévisées :
-
les téléspectateurs adorent les séries étrangères, américaines surtout :
« Ce qui séduit le public ? Le rythme et l’addiction, selon les réponses des personnes interrogées. Notons également que
47 % seulement pensent que les séries étrangères "font réfléchir". » [17]
-
la dimension familiale des séries françaises séduit les téléspectateurs :
« Plus que les séries étrangères, la fiction française apparaît plus familiale, "sans tabou" et permettant de "comprendre la réalité et les gens". Le rythme est toutefois perçu comme étant moins bon, de même que la qualité des histoires et la justesse des dialogues. » [17]
Bien que le service public en soit le commanditaire, ce baromètre permet de saisir, au-delà de l’audimat, la perception qu’ont les téléspectateurs des programmes de première partie de soirée sur les chaînes du PAF. Il confirme également l’importance du positionnement des chaînes en matière d’appréciation de la qualité des contenus. Aussi, à la différence du service public, les chaînes privées ou payantes ont « un rapport à l’audience, donc à l’efficacité immédiate, beaucoup plus prononcé »1. Pour France Télévisions, cet outil vient sanctionner (positivement ou non) la ligne éditoriale des chaînes du groupe.
Notons par ailleurs que la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a confié une mission à l’Institut national de l’audiovisuel (INA) afin de réfléchir à une nouvelle mesure permettant « une approche plus qualitative de l’audience »[18]. Le débat sur les séries de qualité est ainsi loin d’être clos en France.
Ainsi, compte tenu des différentes parties prenantes impliquées dans la création d’une série télévisée, nous considérons que les principaux enjeux de responsabilité incombent surtout aux chaînes de télévision. Car ce sont leurs choix stratégiques qui orientent l’ensemble du processus tant en aval qu’en amont, jusqu’à aiguiller l’intention des scénaristes. Nous nous inscrivons ici dans la lignée des préconisations élaborées en 2011 par Pierre Chevalier, alors directeur des projets d'Arte France :
« De leur [la] faculté [des chaînes françaises] à prendre des risques financiers, à augmenter leur volume de production, à bousculer leurs grilles et leurs habitudes pour faire place à des œuvres françaises nouvelles, dépend l’avenir de notre fiction. Davantage d’investissement pour davantage d’œuvres et de formats : c’est la condition nécessaire pour qu’émerge une fiction française diverse, moderne à l’identité forte. » [19]
[1] Entretien avec Catherine Puiseux, Coordinatrice RSE, Groupe TF1.
[2] Entretien avec Marie Guillaumond, Directrice adjointe à la Direction artistique de la fiction de TF1.
[3] « Patrick Le Lay, président directeur général de TF1 », L’Expansion, 9/07/2004.
[4] Entretien avec Catherine Lottier, Directrice de la veille et de la prospective programmes, France Télévisions.
[5] Entretien avec Arnaud Jalbert, Conseiller de programmes Fiction, Arte France.
[6] Entretien avec Manuel Raynaud, Journaliste, auteur du blog d’Arte Dimension séries.
[7] Entretien avec Tristan Garcia, co-directeur de la série des séries, collection sur les séries télévisées aux PUF.
[8] Winckler (Martin). - Petit éloge des séries télé, op. cit. (p. 74).
[9] Ganz-Blaettler, (Ursula). « Récits cumulatifs et arcs narratifs » in Décoder les séries télévisées, op. cit. (p. 186).
[10] Ganz-Blaettler, (Ursula). « Récits cumulatifs et arcs narratifs » in Décoder les séries télévisées, op. cit. (p. 181-182).
[11] Esquenazi (Jean-Pierre). « Pouvoir des séries télévisées », Communication, 25/02/2014.
[12] Boutet (Marjolaine). – « Histoire des séries télévisées » in Décoder les séries télévisées, op. cit. (p. 39).
[13] Villez (Barbara). - Séries télé : visions de la justice, op. cit. (p. 14).
[14] Winckler (Martin). - Petit éloge des séries télé, op. cit. (p. 36).
[15] Winckler (Martin), ibid. (p. 29).
[16] Etude TNS SOFRES « Les Français et la télévision. Satisfaction et attentes à l’égard des chaînes existantes », 13/05/2011.
[17] Fraissard, Guillaume. « Le public juge ses soirées télé ». Le Monde, 27/01/2014.
[18] Salle, Caroline et Deboute, Alexandre « L’Etat veut évaluer la qualité des programmes télé ». LeFigaro.fr, 23/01/2014.
[19] Rapport de la Mission Chevalier, op. cit. (p. 12).
3ème partie




Lecture linéaire du mémoire
"Les enjeux de responsabilité associés aux séries télévisées"
Réflexion sur la notion de divertissement responsable,
dans le contexte audiovisuel français